Le site (Antoine) /
- Des Punchlines de Noël, que demander de plus ? Sérieusement.

Il est temps de rallumer la littérature (Antoine) /
- Au lendemain du dernier jour de l’Avent, sacrifions ici à la tradition de son calendrier littéraire, sous l’égide de Nicole Grundlinger alias @nicolemotspourmots sur Instagram :
- Jour 1 / Ma première lecture de l’année : Grandeur nature, Erri de Luca, Gallimard. Voir Naples et écrire.
- Jour 2 / Le livre que j’attendais le plus : Rétiaire(s), DOA, Série Noire. Et il valait la peine.
- Jour 3 / Un auteur ou un livre (re)découvert cette année : André Dhôtel et son incroyable David, L’arbre vengeur. Un maître, Dhôtel.
- Jour 4 / Le titre le plus énigmatique : Conquest, Nina Allan, Tristram. Allez donc imaginer cette histoire de complotisme à tiroirs et faux semblants en lisant son seul titre.
- Jour 5 / Le livre dont l’écriture m’a ébloui : Il faut croire au printemps, Marc Villemain, Joelle Losfeld. Notons qu’il s’agit du premier titre de cet Avent commençant par « Il faut ».
- Jour 6 / Le livre pour lequel je réclame une suite ! Cascade, Craig Davidson, Albin Michel. Vivement d’autres nouvelles d’un inconfort aussi viscéral dans l’Amérique des bleds anonymes.
- Jour 7 / La plus belle couverture : Alias Ali, Frédéric Roux, Folio. C’est pas du jeu, mais cette photo-là du Greatest vaut son pesant de nougat.
- Jour 8 / Le livre que je n’aurais pas lu si… : Le romantique, William Boyd, Fayard. Et bien il est meilleur que son précédent, ce que je sais grâce à une commande.
- Jour 9 / Le livre dont on n’a pas assez parlé : Vie et mort de Vernon Sullivan, Dimitri Kantcheloff, Finitude. La forme, le fond, le swing en prime.
- Jour 10 / Un livre qui m’a impressionné : La marchande d’enfants, Gabrielle Wittkop, Verticales. Un roman épistolaire entre deux maquerelles spécialisées dans l’âge tendre ? Il n’y avait qu’elle pour écrire un bouquin pareil.
- Jour 11 / Un livre qui m’a beaucoup appris : Ouragans tropicaux, Leonardo Padura, Métailié. Le Cuba d’aujourd’hui et du début du XXe siècle avec panache et sans didactisme.
- Jour 12 / Le personnage que j’adorerais rencontrer : Pampa Kampana, « la poétesse aveugle, faiseuse de miracles et prophétesse » qui fonda La cité de la victoire, Salman Rushdie, Actes Sud.
- Jour 13 / Le personnage que je voudrais surtout ne jamais croiser : L’enquêteur Matthieu de La Promesse, Friederich Dürrenmatt, Le livre de poche / Totem. Parce que son destin est abominable.
- Jour 14 / Le livre que tout le monde aime… sauf moi : Malgré toute ma rage, Jérémy Fel, Rivages. Bon, ben ça doit être moi.
- Jour 15 / Le livre le plus original : La méfiance du gibier, Stéphane Guyon, L’arbre vengeur. Un texte qui rend passionnant le quotidien d’un agent d’accueil et de sécurité affecté sous la pyramide du Louvre.
- Jour 16 / Le livre que j’aimerais voir tout le monde lire : Le sommeil de la raison, Gabrielle Wittkop, Verticales. Parce qu’il est idéal pour entrer dans une œuvre incomparable.
- Jour 17 / Mon plus gros pavé de l’année : Robert Penn Warren, une biographie, Joseph Blotner, Séguier. 816 pages et pas une de trop pour comprendre un authentique génie.
- Jour 18 / Le livre le plus addictif : Trop loin de dieu, Kim Zupan, Gallmeister. Rythme lent, et pourtant une intrigue accrocheuse et un suspense savamment entretenu.
- Jour 19 / Le livre le plus émouvant : Convoi pour Samarcande, Gouzel Iakhina, Noir sur Blanc. Un convoi d’enfants à travers la steppe soviétique. Y’a de l’enjeu.
- Jour 20 / Le livre le plus réconfortant : Les désarrois du professeur Mittlemann, Éric Bonnargent, Le Sonneur. Où l’on apprend que les vieux misanthropes ne sont pas toujours punis.
- Jour 21 / Le plus beau titre : Il faut toujours envisager la débâcle, Laurent Rivelaygue, Robert Laffont. Franchement, le reste n’est pas mal non plus.
- Jour 22 / Le livre le plus dépaysant : Le Phénix, Christos Chomenidis, Vivane Hamy. Ou la vie profondément romanesque d’un poète grec du siècle dernier.
- Jour 23 / Un prix littéraire lu cette année : Le ciel a des jambes, Benoit Jeantet. Prix La Biblioteca 2023.
- Jour 24 / Un livre pour finir en beauté ! Le passager, Cormac McCarthy, L’Olivier. Parce que McCarthy a fini en beauté.
Le cinéma est mort, la preuve : il bouge encore (Guillaume) /
- Parlons cinéma, parlons… Agression sexuelle. Ben oui c’est Noël, 130 livres. Com n’allait pas vous laisser sans boule puante à déposer au pied du sapin, et celle-ci risque de déboucher plus d’une sinusite. Loretta Preska, juge Fédérale du tribunal de son état, a ordonné la déclassification d’une liste de 170 personnes trempées jusqu’à l’entrejambe dans les soirées « bunga-bunga » du milliardaire accusé de pédophilie en bande organisée Jeffrey Epstein, avant de se petit-suicider mystérieusement dans sa cellule. On parle d’une ribambelle de personnalités publiques potentiellement sur le point de dire adieu à leur carrière, et à la garde alternée de leurs enfants après leur futur divorce. La juge aurait donné aux prévenus en sursis de l’opinion publique 14 jours pour faire appel de la décision. On est pas à l’abri d’un pétard mouillé, mais si ça explose il faut s’attendre à un sacré éboulement de terrain sur la colline aux rêves. Proposition si vous vous faites chier autour de la dinde, et que l’envie malsaine de jouer à « qui est qui » n’en peut plus de ne pas être assouvie. Former des équipes, revoir la Masterclass de Ricky Gervais aux Golden Globes 2020, et scruter les poker faces de chacun et chacune lorsque le trublion anglais mentionné Jeffrey Epstein. Les paris sont lancés.

- Vin Diesel lui saute la file d’attente : l’acteur est accusé d’agression sexuelle par une ancienne assistante, virée sans motifs par la sœur de Baboulinet le lendemain des faits. On attend la vidéo de Mozinor.
- Zack Snyder n’en finit pas de se prendre les pieds dans le tapis. Alors que Rebel Moon se fait désosser jusque dans la frange la plus hardcore de sa communauté, le réalisateur a tenté de défendre son cas en expliquant que la version sortie sur Netflix ce vendredi était le fruit de compromis imposé par la plateforme mais que promis, son futur director’s cut viendra remettre les pendules à l’heure. Problème: deux jours après, une interview de ses acteurs, sans doute effectuée avant la sortie de Zacky, balance sur le net: on a jamais vu un exécutif sur le plateau, et Snyder à pu faire absolument TOUT ce qu’il voulait. Si Snyder figure sur la « Epstein List », il y a moyen qu’on laisse enfin Murielle Bolle un peu tranquille. –
- Michael Mann n’est pas fan des super-héros, mais valide la trilogie des Gardiens de la Galaxie de James Gunn. Pour riposter, Martin Scorsese aurait déclaré qu’il regarderait Ferrari sur Amazon Prime. Megalopolis, le prochain film de Francis Ford Coppola, financé avec ses propres sous, serait totalement « fou » selon Adam Driver qui en tient le rôle principal. Coppola n’a pas sorti un bon film depuis 30 ans, mais lui non plus Marvel, donc Martin Scorsese ira le voir en salles.
- Enfin, dans une période propice aux réconciliations œcuméniques, je ne pouvais pas laisser passer l’opportunité de vanter les mérites d’une comédie RTL au public très « France Inter approved » de 130 livres.com (ne m’en voulez pas : j’ai eu l’autorisation tacite du taulier de faire du déterminisme social). Ça s’appelle Chasse Gardée, c’est réalisé par Antonin Foulon et Frédéric Forestier, c’est en salle depuis mercredi, et rien dans son affiche ne laisse deviner ce que le film vous propose. À savoir une comédie vraiment drôle, VRAIMENT écrite et VRAIMENT réalisée, qui évite de s’arrêter devant les portes grandes ouvertes par son pitch (des Parisiens déménagent à la campagne pour s’installer sur une servitude de chasse) pour construire ses personnages dans la nuance. Chasse gardée privilégie le clash des personnalités au choc des cultures annoncé par les gros sabots de la bande-annonce, et c’est sans doute l’accomplissement le plus remarquable d’une comédie qui met le spectateur à égalité avec ses protagonistes. Dans la France de 2023, les Parisiens et les chasseurs sont des gens comme les autres, qui trouvent un terrain d’entente sur les choses essentielles : les ginguettes de l’enfer montée comme du Edgar Wright et ambiancée par Patrick Sébastien, les sangliers qui fument des tonj et les grands espaces de campagne qui font respirer un air de vivre-ensemble au public sans lui tordre le poignet. Bonus : le film vous permettra d’enrichir votre lexique de pilier de bar avec une ribambelle d’expressions toutes plus spectaculaires les unes que les autres, sans vous les hurler à l’oreille. La France d’aujourd’hui monsieur, c’est pas celle du général De Gaulle. Mais celle qui postule qu’en 2023, vous êtes bien plus qu’un Parisien ou un campagnard, un auditeur de France Inter ou de RTL. Vous êtes un spectateur de Chasse Gardée. Et un lecteur hebdomadaire des punchlines de 130 livres.com, bien entendu.

Ce qui reste de la boxe anglaise (Antoine) /
- Samedi soir à Riyad, on inaugura la version pugilistique du buffet chinois à volonté : du matchup de costauds à profusion, pas tout à fait du très haut-de-gamme mais du roboratif étalé sur 7 heures, le tout très bien vendu les semaines qui précédèrent à grand renfort de clips façon The Walking Dead. Ça s’appelait donc le Day of Reckoning. En bord de ring, rien de moins que la noblesse locale et Christiano Ronaldo. Pas tout à fait une foule d’Anglais ivres entonnant Sweet Caroline, on en conviendra, et l’ambiance s’en ressentit quelque peu, mais enfin rien qui obligeât à bouder son plaisir de téléspectateur pourvu qu’on ait déboursé les 17 euros de paiement à la séance sur DAZN — si, si, rappelez-vous : la chaîne qui jurait aux grands dieux nous débarrasser du vieux modèle du pay-per-view…
- Le premier combat de sous-carte opposait le poids lourd cubain invaincu Frank Sanchez au Néozélandais Junior Fa, et ses quelques premiers consistèrent en un échange de feintes et de rares jabs peu engagés. S’il démarrait en diesel, comme à son habitude, « The Cuban Flash » laissait entrevoir par moments une vitesse de bras largement supérieure à celle de son copieux adversaire, et la confrontation changea de physionomie dès sa première vraie accélération : un gauche-droite d’école qui atteignit le Kiwi en plein menton au 6e round. Deux autres knockdowns suivirent avant l’arrêt de l’arbitre à la reprise suivante. Les futurs adversaires de Sanchez sont prévenus : il pourra lâcher des rounds, mais aussi piquer très fort une fois à son aise.

- S’en est suivi le vrai moment gênant de la soirée, un duel entre le Croate Filip Hrgovic et le quadragénaire australien Mark « The Viking » De Mori, manifestement descendu de son tabouret de pub pour venir durer 1 minute 46 à Riyad. Ce combat-là n’avait à peu près aucun sens, hormis donner à De Mori une bonne histoire à raconter moyennant quelques coups à boire. On souhaite une vraie opposition à Hrgovic dans un futur proche, possiblement contre Anthony Joshua.
- Compatriote du Viking De Mori, Jai Opetaia est largement reconnu comme le meilleur lourd-léger de la planète, la ceinture de The Ring faisant foi, même s’il fut contraint de se débarrasser de son titre IBF. Il en apporta une nouvelle démonstration éclatante face à l’Anglais Ellis Zorro, invaincu jusque-là en 17 combats professionnels. Le gaucher Opetaia est bougrement rapide pour un homme de 200 livres ; Zorro parvint toutefois à le contrer une petite fois avant la fin du round… contrariant manifestement l’Australien, qui marqua sur le gong un monstrueux bras arrière précédé d’une légère feinte du droit. L’Anglais a dû mettre un certain temps à se rappeler tous les veuves et orphelins de sa connaissance.

- L’affrontement suivant promettait plus d’incertitude et d’engagement, quand bien même le Russe basé à Montréal Arslanbek Makhmudov, doté d’une allonge et d’un punch à estourbir les mammouths, était donné favori. Il faut rendre grâce au champion EBU allemand des lourds Agit Kabayel de nous avoir rappelé, en un peu moins de 4 rounds, que la boxe est affaire de technique avant de pouvoir faire parler sa puissance. Face à une sorte d’automate de vitrine de Noël surdimensionné, Kabayel a boxé : il a varié les déplacements, décidé de chaque engagement en maîtrisant la distance, travaillé judicieusement au corps pour y trouver très vite une certaine vulnérabilité, et opté pour une finition rapide une fois identifiés les défauts dans la cuirasse adverse. Du travail très propre. Pour Makhmudov, mis trois fois à terre avant l’arrêt inéluctable, le retour à la réalité est d’une rare brutalité. Pour Kabayel, le top 15 mondial est largement mérité, en attendant lieux.
- Une centaine de livres séparaient à la pesée l’Anglais Daniel Dubois de son adversaire Jarrell « Big Baby » Miller, de retour après trop de suspensions dues dopage pour en avoir tenu un compte précis. Si la main droite de Dubois est des plus léthales, on pouvait s’interroger sur la durabilité du bonhomme après son abandon contre Olexandr Usyk, surtout confronté à à un golgoth pareil. Côté Miller, à 333 livres on s’interrogeait surtout sur sa capacité à boxer 10 rounds en évitant l’infarctus. Freak show sur le papier, Dubois vs Miller s’avéra un combat plaisant à suivre. L’Anglais dominait les échanges en veillant à éviter tout stationnement prolongé dans l’axe, mais Miller épata une fois de plus les observateurs à absorber les coups puissants adverses comme autant de Big Macs. On craignit le pire pour Dubois, largement en tête sur les cartes, lorsqu’il dut ralentir la cadence à la mi-combat, offrant une cible moins mobile à l’Américain. Las, Big Baby n’a plus sa faculté d’antan à enchaîner les combos à longueur de round. Ce qui effraya hier soir fut plus son menton que sa caisse. Alors qu’on se demandait légitimement « Mais comment finir un engin pareil ? » au 10e et dernier round, le puncheur britannique poussa le souci de travail bien fait jusqu’à accélérer une ultime fois pour infliger à Miller sa première défaite avant la limite. Il signa ainsi avec panache son retour parmi les prétendants à une ceinture mondiale. Sans doute le combat de la soirée.

- Après une année 2022 flamboyante où il domina successivement Canelo Alvarez et Gilberto Ramirez, le champion du monde WBA des mi-lourds Dmitry Bivol s’était fait discret durant un exercice 2023 riche de rumeurs sur ses problèmes domestiques. À en juger par ses 12 rounds de domination d’un Lyndon Arthur vaillant mais surclassé, le Russe d’origine kirghize n’a rien perdu de sa virtuosité. Bivol n’a jamais fait de la recherche du KO une fin en soi ; ce qui l’intéresse, c’est travailler ses adversaires à leur en faire tomber les oreilles dans un style européen tout en volume et en vélocité. On peut même imaginer qu’il relâcha volontairement sa pression sur l’Anglais au 3e round dans l’objectif de faire durer la séance de sparring amélioré. Arthur tentait d’exister derrière un jab correct sans jamais donner l’impression de pouvoir grapiller ne serait-ce qu’un malheureux round. S’il finit par visiter le tapis à la 11e reprise après une énième série interminable, il eut le grand mérite de finir le combat debout. Seule une unification des 4 titres mondiaux majeurs face à Artur Beterbiev — je suis de ceux qui doutent de l’intérêt d’une revanche contre Alvarez à 175 livres — ferait une digne suite de carrière pour un Bivol sans doute rassuré sur son état de forme. On croise les doigts pour que la WBC assouplisse sa position sur les combattants russes : basé en Californie, Bivol ne l’est ni plus, ni moins que son rival désormais considéré comme Montréalais d’adoption.
- La seule certitude que finit par acquérir le fan chevronné sur le noble art tient en ces quelques mots : les dieux de la boxe ont la mémoire longue et un humour cinglant. Alors que Anthony Joshua vs Deontay Wilder semblait enfin devenu possible après des années d’atermoiements et de plans sur la comète douloureusement contrariés, les intéressés ayant signé pour mars prochain, ce train-là a sans doute déraillé une bonne fois pour toutes après le large revers subi par l’Américain face au Néozélandais Joseph Parker. Ce dernier prit rondement possession du centre du ring et contraint Wilder à parcourir des kilomètres en marche arrière sur ses jambes d’échassier sans jamais poser ses appuis pour déclencher la droite la plus létale du XXIe siècle. Dénué d’envie d’en découdre, secoué comme une poupée de chiffon dans le clinch, dominé tactiquement et privé de son marteau de Thor, c’est peu dire que le « Bronze Bomber » donna une tout autre image que celle de la terreur qu’il fut. Face à un Parker tranquille comme Baptiste, il n’a pas remporté un round, et à 38 ans ses interviews sonnent désormais comme celles d’un préretraité. Gageons qu’un bon bout de son âme de combattant est resté dans la poche de Tyson Fury.

- Il eût été cruel pour le pays hôte de voir Anthony Joshua se prendre lui aussi les pieds dans le tapis lors du main event de la soirée. Mobile, bon boxeur mais guère puissant, le gaucher Suédois Otto Wallin avait été choisi avec soin, fort d’un joli succès sur Murat Gassiev en septembre dernier. Soit Joshua enclenchait enfin la marche avant, bazardant l’inquiétante timidité de ces derniers mois, soit il risquait fort de se faire punir à l’escrime de poings. On imagine le promoteur Eddie Hearn sacrément soulagé au moment de voir « AJ » faire preuve d’une autorité retrouvée, donnant un jab sonore et ne se privant pas d’enchaîner. Il gagna sans ambiguïté les 5 premiers rounds du combat avant que le coin du Suédois ne baisse pavillon, sans doute effrayé par la rhinoplastie infligée à vif par le massif chirurgien anglais. Le combat contre Wilder ne se fera pas, du moins à court terme, mais Anthony Joshua n’est pas dénué d’options. On l’imagine brûler un cierge à la cathédrale Saint-Paul pour que Tyson Fury batte Olexandr Usyk le 17 février prochain : le jackpot pour un titre incontesté des lourds disputé entre sujets de Charles III promettrait de battre des records. On sait toutefois que les dieux de la boxe ont la mémoire longue et un humour cinglant…
Le MMA va bien, merci pour lui (Guillaume) /
- Et il vous donne rendez-vous en 2024 !