Le site (Antoine) /
- Toujours pas de courrier de lecteurs fulminants en dépit des parpaings que lâche Guillaume aussi sûrement que des passings shots long de ligne en revers à une main. À croire que personne sur Terre n’a aimé le remake de Road House — ou que ses inconditionnels viennent peu sur 130livres.com.

Il est temps de rallumer la littérature (Antoine) /
- Livres Hebdo nous apprend que le site Babelio a lancé une vaste étude sur le lectorat de Romance, mettant en évidence de manière très précise que je ne suis absolument pas dans la cible. Blague à part, ces femmes plutôt jeunes en recherche « d’émotions, de frissons ou de papillons dans le ventre » lisent encore plus que l’ordinaire des bibliophages avérés, et elles sont 36% à être venues à la lecture via la Romance, justement, après quoi on aurait grand tort de dénigrer le genre pour le principe. Même quand on a mon profil de scrogneugneu.
- Le même site Livres Hebdo propose à la vente un article de 4748 caractères intitulé « Bibliographie : Taylor Swift, reine de la pop », dressant une liste « non exhaustive » d’ouvrages consacrés à la chanteuse âgée de 34 ans et née à Reading (Pennsylvanie). À ceux qui trouveraient qu’on en fait des caisses pour pas grand-chose, rappelons que Jordan Bardella s’apprête à sortir son autobiographie.
- Les Trophées de l’édition 2024 furent remis lundi soir dernier sur la scène du Théâtre de l’Odéon. Le jury présidé par Michel-Édouard Leclerc a notamment attribué un Prix spécial à Cédric Sapin-Defour pour Son odeur après la pluie, dont un exemplaire sera offert pour chaque lot de 3 sacs de 12kg de croquettes « Marque Repère » acheté.

- Jean-Paul Dubois s’est fait éreinter au Masque et la Plume pour L’origine des larmes. En tant qu’autre critique n’ayant pas lu le livre, je m’inscris en faux.
- Le Prix Orange du livre vient de dévoiler une éclectique sélection de 20 romans, dans laquelle le travail des autrices est à l’honneur. Le lauréat sera récompensé lors de la traditionnelle soirée sous les moulures et lustres rétro de la Maison des Polytechniciens programmée le 13 juin prochain. J’y vois un signe : c’est la Saint-Antoine. Considérant que la première fois que j’y ai assisté un type m’a salué avec effusion en m’appelant « Julien », que je me suis fait refouler du bar pour avoir tenté le faux départ pendant les discours, que le tataki de thon était remarquable et que j’ai fini la soirée en causant zizicoptère avec un sympathique romancier, je ferai naturellement tout mon possible pour me procurer une nouvelle invitation.
- Le pilonnage médiatique s’annonce certes oppressant, mais l’adaptation en BD de La Route par Manu Larcenet mérite d’être saluée pour le tour de force qu’elle est bel et bien : parvenir à se hisser au niveau du texte cultissime de Cormac McCarthy était difficile à concevoir. « Dispensable » est le mot qui colle le mieux au film de 2009 signé John Hillcoat ; « Honorable » si l’on fait preuve d’une certaine mansuétude, en reconnaissant implicitement qu’il s’agissait malgré tout d’un échec. Le seul critère qui vaille est l’émotion brute, et en la matière le travail de Larcenet réveille le traumatisme bien particulier ancré chez les lecteurs du texte ahurissant de profondeur et d’efficacité qui valut à McCarthy le Prix Pulitzer 2007 de la fiction. Une même oppression aux frontières du soutenable, mais pas au-delà, par la grâce de l’étincelle d’humanité qu’un père jamais nommé s’obstine à entretenir lorsque plus rien n’en vaut la peine. Pour toucher aux enjeux les plus essentiels qui soient, McCarthy avait opté pour l’épure ; Larcenet, lui, détaille, varie et affine sans cesse. Le souvenir de son dessin brutalement drôle et quasi enfantin au temps de Fluide Glacial file un vertige pas possible lorsqu’on referme le chef d’œuvre de maîtrise formelle qu’est La Route. Sans connaître grand-chose au neuvième art, on sait que l’expression n’a ici rien de galvaudé. J’espère lire aussi fort cette année tous genres confondus, sans garantie aucune.
Le cinéma est mort, la preuve : il bouge encore (Guillaume) /
- Parlons cinéma, parlons de Francis Ford Coppola, qui poursuit sa vie de cinéma en lettres majuscules, à 84 ans passés. Au sens propre. Car si la coutume veut que le destin du narrateur reste toujours moins flamboyant et spectaculaire que les histoires qu’il met en images, en sons ou en lettres, il convient d’amender la jurisprudence concernant le cas Francis Ford.
- Coppola, c’est le monde ou rien, le toit du monde ou le fond de la cale, l’Atlantide ou les abysses, Get rich or die trying comme disait 50. On n’entreprend pas un tournage comme celui d’Apocalypse Now comme il l’a fait (c’est-à-dire en hypothéquant ses biens, sa santé mentale et physique) pour réaliser un film, mais parce qu’on poursuit une quête. Un rêve plus grand que le cinéma lui-même, la pyramide d’or souterraine, l’arche perdue à portée de caméra. Avec Michael Cimino, Coppola est sûrement le garçon de la bande qui a le plus mal vécu la transition des années 70 à 80, quand les défricheurs du Nouvel Hollywood furent mis à l’index par les banquiers d’un nouveau Monde qui ne ressemblait pas au leur. Coppola lui est allé au bout de l’utopie, et a tout perdu. Le naufrage commercial de Coup de cœur l’endetta pour 20 ans, entraîna la fermeture d’American Zootrope (son Lucasfilm à lui), et le Conquistador fut condamné aux pilotages de navires de croisière. À faire des films « comme les autres« , quelques sorties de routes qui n’appartenaient qu’à lui (Dracula, franchement), et des expériences de laboratoire sans envergures avant de partir en retraite de vigneron multimillionnaire. La fin de l’histoire ? Non.
- L’annonce fit l’effet d’une bombe l’année dernière : à plus de 80 ans, Coppola retourne sur les plateaux de tournage pour réaliser Megalopolis, une arlésienne qu’il portait en lui depuis 30 ans. Une production de 130 millions dollars entièrement autofinancée par… la vente de de ses vignobles. « Ne jamais mettre son propre argent dans ses films » : Coppola l’a portant appris à la dure, et plus d’une fois. Mais à l’âge où la plupart attendent la diffusion des Chiffres et des lettres pour prendre le thé, Coppola continue à rêver de l’Amérique. Once more into the fray, à risquer le tout pour le tout, la lune ou le caniveau, les couilles sur la table et les bijoux de famille en hypothèque. Coppola possède-t-il encore les moyens de ses ambitions ? « Tout ou rien », un kata de cinéma encore à sa portée ? L’hubris qui a parlé trop fort, ou l’appel de l’aventure a pris le dessus ? Les premières reviews dithyrambiques penchent pour la seconde option. Et quoiqu’il en soit, le geste est magnifique, et l’histoire de Coppola un triple-climax digne des récits qu’il a portés en images. Le cinéaste n’a pas besoin de réaliser Citizen Kane, et pas seulement parce qu’il a déjà fait Le Parrain : il EST Citizen Kane. Le film le plus Coppolaesque que l’on ne verra jamais sur les écrans, c’est sa propre vie en images.

- Au rayon hommes sans âge, la Warner a mis en ligne le nouveau trailer de Furiosa, le prochain film de George Miller consacré au Mad Max Cinematic Universe. Le précédent faisait du Fury Road en moins bien, celui-ci rassure : n’en déplaise à sa fiche d’état civil, Miller n’a pas encore l’âge de radoter. De l’épique, du romanesque, du spectacle, et de la sidération : tout ce que promet Furiosa, c’est le cinéma en érections que la demi-molle au garde à vous de l’industrie US n’ose plus (ne sait plus) proposer. Rendez-vous en mai pour s’assurer que 3000 ans à t’attendre, le précédent film du réal et tentative loupée de réfléchir à voix haute le concept de récit tout en racontant son histoire (n’est pas Arnaud Desplechin qui veut), constituait un dos d’âne plutôt qu’un signal d’alarme.
- Toujours chez les vieux qui ne débandent pas, Liam Neeson, 72 ans au compteur et muscle qui cogne depuis sa cinquantaine tardive, a annoncé vouloir sa continuer les films d’action jusqu’à ce que son corps lui dise stop. Il y a vraiment des vocations qui se découvrent sur le tard.
- Section vieux qui s’arrêtent avant de le devenir, Peter Weir (Pique-Nique à Hanging Rock, Gallipoli, The Truman Show) a déclaré qu’on ne le reverrait plus sur un plateau de tournage. « Je n’ai plus d’énergie » a t-il dit à la Cinémathèque. On accepte le deuil sans lui jeter la pierre : peu de jeunes l’aurait eu, l’énergie, pour attaquer les cols dont Weir est ressorti maillot jaune autour de la (Master and commander Les Chemins de la liberté). Comme le dirait Aragorn : « C’est nous qui nous inclinons, monsieur ».

- Enfin, petit arrêt par les soins palliatifs, Steven Spielberg aime Dune 2, le pâté de sable en points virgules de Denis Villeneuve, et le fait savoir. Le GOAT a couvert le film d’éloges et saucé son réalisateur façon Bukkake lors d’une séance publique, jusqu’à le mettre à côté de Kubrick. On ne pas être Dieu avec ses images et devant celles des autres, mais on peut s’appeler Spielberg et dire des conneries. Ouf.
Ce qui reste de la boxe anglaise (Antoine) /
- Il n’y a plus de Français champion du monde de boxe depuis la nuit de samedi à dimanche, et le moins qu’on puisse dire est que l’affaire était cousue de fil blanc. Reconnaissons à Oscar de la Hoya qu’il connaît son affaire, et le piège tendu au Youtube Theater d’Inglewood était huilé au possible. Sise à Los Angeles, la soirée Golden Boy Promotions opposant Arsen Goulamirian à Gilberto Ramirez pour le titre WBA des lourds-légers promettait même un certain succès populaire, considérant les racines arméniennes et mexicaines des protagonistes dans une cité comptant de forts contingents de supporters les partageant. Oscar savait l’inactivité du champion du monde français, dont l’unique sortie depuis 2019 l’avait opposé à l’inexpérimenté Alexsei Egorov il y a presque un an et demi, il connaissait aussi son niveau technique, inférieur à celui de « Zurdo » Ramirez ; au fond, le seul pari qu’il fit vraiment portait sur le menton du challenger et sa faculté à prendre le punch d’un vétéran des moins de 90,7kg. Son poulain le rassura vite sur la question, peu incommodé par les droites que Goulamirian passa tôt dans le combat.
- Dès lors Ramirez put suivre son plan de vol, exploitant son allonge supérieure et sa fausse garde pour multiplier frappes au corps et uppercuts du gauche derrière le jab sans que le Français daignât chercher le plan B qui aurait permis de les éviter. Le pressing d’Arsen ne s’avéra suffisant ni en volume, ni en précision pour contrarier un Zurdo à l’aise sur le pied arrière et précis dans ses contres. En vitesse de croisière, il remporta une dizaine de reprises. Boxer dans sa catégorie naturelle après des années à se saigner à 168 puis 175 livres lui réussit plutôt, reste à voir si son punch limité à moins de 200 livres tiendra en respect les cadors de la catégorie. Sans que sa performance n’eût rien d’infâmant, le champion déchu, lui, ne donna jamais l’impression de pouvoir inverser la tendance. « There are levels to this game » semble être, une fois de plus, la conclusion la plus pertinente à tirer de cette fin de règne, au coude-à-coude avec « 120 rounds de sparring n’en remplaceront jamais 12 de championnat du monde ». On regrettera juste que « Feroz » n’ait guère cherché la difficulté depuis sa prise de titre en 2018, quels qu’en fussent les responsables. Que retiendra-t-on de ces (longues) années à voguer de combats reportés en challengers de niveau incertain ? Une frustration sûrement partagée par le principal intéressé et ses fans. La boxe tricolore a les champions qu’elle mérite : méritants, certes, mais loin de l’élite.

- On attendait avec curiosité le premier pay-per-view de PBC sur Amazon Prime, en direct de la T-Mobile Arena, et le moins que l’on puisse dire est qu’il peina à convaincre tout à fait en dépit de ses moments forts. Le grand perdant de la soirée est sans conteste Tim Tszyu, délesté de sa ceinture WBO des super welters par décision partagée alors qu’il avait dû ajuster sa préparation de Keith Thurman à Sebastian Fundora moins de deux semaines avant l’échéance. Tszyu disait et répétait être ouvert au défi du taulier des welters Terence Crawford, alors que son vainqueur du soir, l’interminable Fundora, a déjà annoncé qu’il l’éviterait soigneusement. Il ne conservera pour ce faire que la breloque mondiale en version WBC, également en jeu ce samedi via un tour de passe-passe dont Al Haymon a le secret. Fameux pour ses démarrages de diesel, Tszyu parvint pourtant à cadrer très tôt Fundora, dont on sait la défense poreuse : des saignements de la bouche et du nez témoignèrent de son efficacité. Mais l’infortuné Australien se retrouva très vite à fuir lui aussi aussi de la tête, en l’occurrence du cuir chevelu, entamé sur un cou de coude involontaire reçu en fin de 2e round. Que le combat n’ait pas été converti illico en no contest ouvre la voie à quantité de spéculations sur les véritables motivations de PBC, toujours est-il que Tszyu n’y voyait plus guère et que Fundora engrangea les reprises en travaillant plus qu’à son habitude à la distance que lui autorise sa paire de bras télescopiques. Ne sous-estimons pas l’effort fourni par le champion, toujours dangereux bien que littéralement privé de ses yeux. Il serait à mes yeux favori d’une revanche… dont son contrat est hélas dépourvu. Le plan d’Al Haymon consisterait plutôt à donner à Errol Spence une chance de reconquête à 154 livres… aussi criminelle que paraisse cette idée. Difficile de faire plus cocu que le fils du grand Kostya Tszyu en ce début de printemps pugilistique.
- Maigre lot de consolation, le démantèlement en co-main event du pire champion du monde en activité, j’ai nommé Rolando « Rolly » Romero. Isaac « The Pitbull » Cruz a certes un petit châssis à moins de 140 livres, mais il sait tirer avantage d’un menton à la fenêtre, et le Dominicain se retrouva en rollers sur un lac gelé dès la reprise initiale. La suite consista en un tabassage en règle administré par un Mexicain qu’on sait galvanisé par l’odeur du sang. Après une huitaine de rounds passés à casser l’énorme bouche de son adversaire, Cruz obtint que l’arbitre mit fin à la pantalonnade. On espère sans trop y croire Romero disparu pour de bon des réunions de premier plan, tandis que « Pitbull » détient sa première ceinture mondiale en carrière et aspire déjà à des combats d’unification. Très en phase sur le ring avec les stéréotypes pugilistiques mexicains, il pourrait encore nous divertir une paire de fois. Qu’il soit déjà remercié pour samedi dernier. Notons également en sous-carte le succès convaincant de Serhii Bohachuk par décision unanime sur Brian Mendoza, qui put à l’occasion faire admirer la solidité de son menton. La dynamo ukrainienne Bohachuk pourrait bien défier Sebastian Fundora pour le titre WBC si Spence choisissait de privilégier l’état du contenu de sa boîte crânienne sur un ou deux millions de plus. Enfin, Curmel Moton remplaça sur la carte télévisée un Elijah Garcia (hélas) forfait de dernière minute. Le succès 8 rounds à rien du protégé de Floyd Mayweather Jr sur un autre léger invaincu, Anthony Cuba, est riche de promesses : le jeune prospect sait manifestement tout faire sur un ring. Je ne dis rien de la victoire en 2 rounds du quadra Erislandy Lara sur Michael Zerafa ? Franchement, je m’en tape un peu.
- Dans un week-end pascal décidément riche en événements d’ampleur, Oscar Valdez s’est emparé du titre WBO par intérim des super-plume en surclassant l’Australien Liam Wilson en 7 reprises, et peut en espérer la version officielle dès qu’Emanuel Navarrete combattra en mai pour celle des légers. Il faut aimer Oscar Valdez, bosseur, respectueux et à son aise dans la peau du challenger quels qu’aient pu être ses accomplissements à 126 et 130 livres. Les super plume sont peut-être la catégorie la plus sous-cotée du moment. Egalement à l’affiche, la compatriote de Valdez Seniesa Estrada a unifié les quatre titres majeurs des minimumweights en battant par décision unanime (et un tantinet large) la Costaricaine Yokasta Valle. Et puis l’Angleterre nous a encore offert une soirée incandescente, entre pintes jetées au ciel et brâmes de footeux transis, lorsque les lourds Fabio Wardley et Frazer Clarke se sont envoyé à figure jusqu’à l’évier de la cuisine de l’O2 Arena de Greenwich, titres britannique et du Commonwealth en jeu. Qu’il n’y eût aucun vainqueur relève d’une certaine logique tant les deux méritèrent de l’emporter, le challenger Clarke en faisant admirer sa technique et en contrôlant le début de combat, et le champion Wardley en plaçant enfin sa droite de forain au 5e round pour refaire une partie de son retard sur un knockdown, puis en surmontant une bien vilaine fracture du nez. Séparés sur un nul que permit un coup bas de Clarke sanctionné d’une pénalité, ces deux tractopelles-là nous redonneront sans doute très bientôt un exaltant tango des enfers.

Le MMA va bien, merci pour lui (Guillaume) /
- Parlons MMA, parlons de l’UFC. Atlantic City accueillait samedi l’UFC Fight Night, dont le main event devait décider du prochain title shot pour la catégorie flyweight féminine entre la Frenchie Manon Fiorot et l’américaine Erin Blanchfield. Plus grande et plus lourde que son adversaire et combattant en fausse patte, la pensionnaire de la boxing squad disposait de toutes les cartes en main pour décrocher son ticket pour l’or. Résultat : une victoire assurée au service minimum par Fiorot, dans un combat peu adapté à sa physionomie. Moins à l’aise quand elle n’est pas à l’initiative, l’élève d’Aldric Cassata laissait son opposante s’empaler sur son droit 5 rounds durant, sans s’exposer outre-mesure, d’autant plus après la guillotine de Blanchfield, passée tout près de devenir plus qu’une tentative dans le premier round. Fiorot a dévoilé les faiblesses entraperçues dans son combat contre Rose Namajunas en septembre dernier, notamment un jeu de jambes un peu raide, des difficultés à boxer en angle, une tenue parfois problématique en mi-distance. Autant de scories dont ne lui feront pas cadeau la vainqueure du choc Valentina Shevchenko vs Alexandra Grasso, les deux taulières actuelles de la caté.

- Cédric Doumbé a perdu. La FMMAF a rendu sa décision au sujet du combat contre Baysangour Chamsoudinov, qui s’était conclu de la manière que l’on ne sait que trop bien, et a refusé de satisfaire la requête de The Best, qui demandait à ce que le résultat soit transformé en no contest. Pas de twist au twist : la petite épine devient officiellement le caillou dans sa chaussure que Doumbé devra traîner jusqu’à la fin de sa carrière. Mérité, pas mérité : on a déjà poncé le sujet en ces pages.